Après les acquisitions... les licenciements !
Rachats, crise, acquisitions, OPA... le monde des brasseurs est depuis quelques années maintenant un business à part entière. On retrouve même des connexions avec les événements planétaires comme les élections US (notre news d'hier).
Comme tout entreprise d'importance, les grands groupes sont soumis à une énorme pression de la part de leurs actionnaires. Et les mesures apportées pour les satisfaire ne sont pas nouvelles : réduction des coûts et, lors de rachat, réorganisation. Ce qui se traduit généralement par des plans sociaux dont les employés sont victimes.
Heineken, ayant eu sa part du rachat de Kronenbourg (voir nos articles à ce sujet), n'a pas réussi à atteindre les objectifs désirés. D'0ù l'adoption d'un plan de réorganisation, qui doit entrer en vigueur en 2010. Il prévoit la suppression de 214 postes en France. Selon la direction, « entre août 2007 et août 2008, la consommation de bière a reculé de 8 %, contre 1 % par an en moyenne les années précédentes. Ce que nous voulons, c'est retrouver une rentabilité qui ne vienne pas de la réduction des coûts, mais d'une reconquête des consommateurs. Cela passe par une réorganisation complète de l'entreprise, qui est certes bénéficiaire actuellement, mais dont la rentabilité a été divisée de moitié en deux ans ».
Tout est une question de point de vue...
plus de détails ici
Comme tout entreprise d'importance, les grands groupes sont soumis à une énorme pression de la part de leurs actionnaires. Et les mesures apportées pour les satisfaire ne sont pas nouvelles : réduction des coûts et, lors de rachat, réorganisation. Ce qui se traduit généralement par des plans sociaux dont les employés sont victimes.
Heineken, ayant eu sa part du rachat de Kronenbourg (voir nos articles à ce sujet), n'a pas réussi à atteindre les objectifs désirés. D'0ù l'adoption d'un plan de réorganisation, qui doit entrer en vigueur en 2010. Il prévoit la suppression de 214 postes en France. Selon la direction, « entre août 2007 et août 2008, la consommation de bière a reculé de 8 %, contre 1 % par an en moyenne les années précédentes. Ce que nous voulons, c'est retrouver une rentabilité qui ne vienne pas de la réduction des coûts, mais d'une reconquête des consommateurs. Cela passe par une réorganisation complète de l'entreprise, qui est certes bénéficiaire actuellement, mais dont la rentabilité a été divisée de moitié en deux ans ».
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