Avant les licenciements, les grèves !!
Dans le jeu des restructurations, il y a toujours une étape inévitable : la grève (sauf en Suisse, brave peuple de moutons, quoique ces temps dans le canton de Vaud...).
Heineken ne déroge pas à la règle. Suite à l'annonce de la suppression de 214 postes en France, répartis sur les 2 sites de production que sont Obernai et Strasbourg, les syndicats sont passés aux actes. « Les salariés en ont assez des plans sociaux successifs qu'ils subissent depuis des années, alors que les profits sont là », a dénoncé le délégué central CGT de l'entreprise, André Thillard.
Les salariés ont donc cessé le travail pendant une heure. La CGT estime que cette restructuration a pour objectif « l'augmentation de la rentabilité de l'entreprise » pour le seul bénéfice des actionnaires. Ce que conteste évidement la direction, qui se réfugie derrière une baisse de la consommation et une moindre rentabilité.
à suivre !
infos
Heineken ne déroge pas à la règle. Suite à l'annonce de la suppression de 214 postes en France, répartis sur les 2 sites de production que sont Obernai et Strasbourg, les syndicats sont passés aux actes. « Les salariés en ont assez des plans sociaux successifs qu'ils subissent depuis des années, alors que les profits sont là », a dénoncé le délégué central CGT de l'entreprise, André Thillard.
Les salariés ont donc cessé le travail pendant une heure. La CGT estime que cette restructuration a pour objectif « l'augmentation de la rentabilité de l'entreprise » pour le seul bénéfice des actionnaires. Ce que conteste évidement la direction, qui se réfugie derrière une baisse de la consommation et une moindre rentabilité.
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