comme c'est vendredi et en attendant la Mousse de l'apéro...
Faut avouer qu'on a un petit faible pour les bières belges, au comité de l'ABO Fribourg...
PS : promis, Daniel, on reviendra au stand germain de la Fête de la Bière !! ;-)
bon w-e à tous !
Faut avouer qu'on a un petit faible pour les bières belges, au comité de l'ABO Fribourg...
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Oktoberfest...
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COPENHAGUE - Les consommateurs de vin achètent des produits alimentaires plus sains que les buveurs de bière, selon une enquête danoise. Ils acquièrent plus d'olives, de fruits et légumes, de poisson, de viande et de produits laitiers maigres que les amateurs d'orge.
Les amateurs de bière sont en revanche plus portés sur les plats cuisinés, la charcuterie, la viande de porc, de mouton, les pommes chips, les produits sucrés, le beurre, la margarine et les boissons gazeuses, selon cette enquête menée durant six mois par quatre chercheurs sur l'alcool de l'Institut d'Etat de la santé publique. Les résultats de cette enquête ont été publiés mardi sur le site de la revue hebdomadaire des médecins, "Ugeskrift for Laeger".
Les chercheurs ont collecté environ 3,5 millions de copies de tickets de caisse au hasard dans 98 supermarchés, durant la période du 30 septembre 2002 à février 2003. Les clients de ces supermarchés représentent un large échantillon de la population danoise, ont-ils souligné.
"Nos résultats confirment les enquêtes internationales qui montrent que les buveurs de vin sont plus enclins à manger des fruits, des légumes et poissons et utilisent plus rarement des matières grasses saturées que ceux qui aiment plus d'autres types de boissons alcoolisées", concluent les chercheurs.
Les consommateurs de vin ont en outre un niveau d'éducation plus élevé, des revenus supérieurs et se portent mieux psychologiquement que ceux qui n'en boivent pas, soulignent ces chercheurs, faisant référence à une enquête danoise précédente.
L'intérêt de ces chercheurs pour les paniers des consommateurs est dû à une série de résultats de recherches indiquant moins de risques de maladies cardiovasculaires et de types de cancer chez les buveurs modérés de vin par rapport à ceux qui préfèrent la bière ou les alcools."
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l'ABO Suisse est une grande famille.
Cependant, au fil des ans, il est devenu difficile pour le comité de l’ABO Suisse d’être efficace au niveau régional, ceci sur tout le territoire. En effet, l’ABO pouvait s’enorgueillir de compter plus de 550 membres.
Aussi, lors de l’assemblée générale 1999, le comité de l’ABO Suisse proposa de redéfinir sa stratégie et sa politique. Elle suggéra un modèle fédéraliste, encourageant la création de sections locales, lesquelles resteraient rattachées à la grande famille de l’ABO Suisse. Cette nouvelle politique permettrait à chaque comité de se concentrer sur sa région, offrant à ses membres diverses activités leurs permettant de découvrir le monde brassicole de leur région, ceci en maintenant une information nationale via les courriers de l’ABO Suisse.
Suite à ce discours, une section locale lausannoise vit rapidement le jour, les autres cantons ou régions promettant la création d’un comité local dans les plus brefs délais. Cependant, ce fut la section fribourgeoise qui suivit l’exemple. En effet, la tentation était grande, le peuple fribourgeois ayant démontré son attachement au monde brassicole à travers ses actions dans l’affaire de la brasserie du Cardinal. C’est totalement inexpérimentés, mais très enthousiastes, que Gilles Godar et Alexandre Grand, membres de l’ABO Suisse depuis à peine une année mais conquis par la richesse du monde de la bière, se lancèrent à l’eau et créèrent officiellement l’ABO section Fribourg lors de la première réunion, le vendredi 14 avril 2000, sous l’œil humide du comité de l’ABO Suisse. Il n’y avait alors que 11 membres répertoriés sur le canton et le premier comité fut élu, Philippe Carrard complétant le duo.
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Septembre 1990. Quelques amis, dont Patrice Carrel et Marc Studer, décidèrent de se rendre à Prague pour une semaine de découverte. C’est dans cette ville, si riche sous ses multiples aspects, qu’ils furent captivés par la richesse du monde brassicole qui leur était proposé.
« Membre de l’Union Européenne des Consommateurs de Bières depuis 1995, l’association sans but lucratif, indépendante et apolitique met l’accent sur les points suivants :
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